Les montagnes chantaient la liberté
1943. Fuyant Paris occupé, Amédine interrompt ses études à la Sorbonne. Pour essayer de canaliser son caractère passionné, ses parents l’envoient chez son grand-père adoré, à Font-Romeu, dont le monumental Grand Hôtel a été transformé en hôpital par la Wehrmacht.
Prêtant main-forte à sa tante qui tient un salon de thé, Amédine retrouve, malgré la présence des uniformes vert-de-gris, l’ambiance de son enfance. Elle renoue avec un ancien camarade, Vincent. Dans le village, on leur prête une romance… Mais Amédine a d’autres préoccupations : elle s’engage dans une filière d’évasion vers l’Espagne.